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Parakewl237 - Chapitre 1 055 : " New Era ". - L'affiche de cette semaine est le poster "One Piece Film Red" dessiné par Oda (avec Luffy, Shanks et Uta). - Le chapitre commence dans la capitale des fleurs. Nami, Tama et Zeus profitent de la fête et de la nourriture. - En dehors de la ville, Momonosuke est battu par Ryokugyuu. Résumédes trois mousquetaires par chapitre. Pour écrire Les Trois Mousquetaires, Dumas se servit des Mémoires de d'Artagnan de Gatien de Courtilz (1700), auquel il emprunta de nombreux épisodes. Résumé Gascon d'origine, le jeune d'Artagnan quitte ses terres natales pour arriver à Paris en avril 1625. Résumédu chapitre 1. Robinson Crusoé est né en 1632 à York, Grande Bretagne, dans une famille aisée. Les études ne l'intéressent pas et il rêve d'aventures en mer. Son père veut qu'il soit avocat. Quand il apprend qu'un ami s'embarque pour Londres, Robinson le suit. En mer, l'embarcation subit une violente tempête. LesAventures du capitaine Hatteras est un roman de Jules Verne, paru en 1866.. Résumé: Les anglais au pôle Nord. À Liverpool, un brick le Forward (en français : En avant) attire la curiosité de tous : il est visiblement conçu pour les mers polaires, mais de nombreux détails dans sa construction intriguent.De plus, les marins sont très bien ilétait un capitaine résumé par chapitre. Voir La Réponse. Inconnu à cette adresse résumé par chapitre. Demandé Par Admin @ 16/07/22 & Vu Par 10 Rencontre Femme Antillaise Ile De France. Résumé Chapitre XXVIII – Nous saisissons le navire Après avoir vaincu les mutins, Crusoé décide qu’il est temps de s’emparer du navire et il informe le capitaine de ses plans. Le capitaine est d’accord. Crusoé et le capitaine intimident les mutins captifs avec un rapport fictif selon lequel le gouverneur de l’île a l’intention de tous les exécuter mais pardonnerait à la plupart d’entre eux s’ils aidaient à saisir le navire. Pour garantir les promesses des hommes, Crusoé garde cinq otages. Le plan fonctionne le capitaine rebelle du navire est tué et le navire est récupéré. Lorsque Crusoé aperçoit le navire, il s’évanouit presque sous le choc. En signe de gratitude, le capitaine offre à Crusoé des cadeaux de vin, de nourriture et de vêtements. Les mutins se voient offrir la possibilité de rester sur l’île afin d’éviter certaines exécutions pour mutinerie en Angleterre. Avec gratitude, ils acceptent. Le 19 décembre 1686, Crusoé monte à bord du navire avec son argent et quelques biens et met les voiles pour l’Angleterre après vingt-huit ans sur l’île. De retour en Angleterre, Crusoé découvre que la veuve qui a gardé son argent est vivante mais pas prospère. La famille de Crusoé est morte, à l’exception de deux sœurs et des enfants d’un frère. Crusoé décide de se rendre à Lisbonne pour chercher des informations sur ses plantations au Brésil. Résumé Chapitre XXIX – Je trouve ma richesse tout sur moi Il est impossible d’exprimer ici les battements de mon cœur même. . . quand j’ai trouvé toute ma richesse sur moi. Arrivé à Lisbonne, Crusoé regarde son vieil ami et bienfaiteur, le capitaine portugais qui l’a emmené le premier au Brésil. Le capitaine portugais dit à Crusoé que ses terres brésiliennes ont été placées en fiducie et ont été très rentables. Le capitaine est redevable à Crusoé d’une somme importante qu’il rembourse partiellement sur place. Crusoé, ému par l’honnêteté du capitaine, rend une partie de l’argent. En obtenant une lettre notariée, Crusoé est en mesure de transférer ses investissements brésiliens en son propre nom. Il se retrouve en possession d’une grande fortune. Crusoé envoie des cadeaux en argent à son amie veuve et à ses deux sœurs. Tenté de déménager au Brésil, Crusoé se prononce contre l’idée car il hésite à devenir catholique. Il décide de retourner en Angleterre, mais il refuse de voyager par mer, retirer ses bagages de trois navires différents au dernier moment. Il apprend plus tard que deux de ces navires sont soit pris par des pirates, soit fondus. Crusoé décide de se rendre à terre, rassemblant un groupe de voyageurs d’Européens et de leurs serviteurs. Résumé Chapitre XXX – Nous traversons les montagnes Crusoé et son groupe partent de Lisbonne et atteignent la ville espagnole de Pampeluna Pampelune à la fin de l’automne, et Crusoé trouve le froid presque insupportable. La neige est excessive, obligeant le groupe à rester plusieurs semaines à Pampelune. Le 15 novembre, ils se dirigent enfin vers la France, malgré les intempéries. Ils rencontrent trois loups et un ours dans les bois. Vendredi tue un loup et chasse les autres. Vendredi amuse également le groupe en taquinant l’ours avant de le tuer. En continuant, le groupe rencontre un cheval effrayé sans cavalier, puis trouve les restes de deux hommes qui ont été dévorés par des loups. Trois cents loups entourent bientôt le groupe de Crusoé. Le groupe tire sur les loups et les effraie avec une explosion de poudre à canon, les chassant finalement. Arrivé enfin à Toulouse, en France, Crusoé apprend que l’évasion de son groupe des loups était pratiquement miraculeuse. Résumé Chapitre XXXI – Je revisite mon île Crusoé atterrit en toute sécurité à Douvres, en Angleterre, le 14 janvier . Il dépose ses effets personnels chez son amie veuve, qui prend bien soin de lui. Crusoé envisage de retourner à Lisbonne et de partir de là au Brésil, mais il est une fois de plus dissuadé par des préoccupations religieuses. Il décide de rester en Angleterre, donnant l’ordre de vendre ses investissements au Brésil. Cette vente gagne Crusoé la grande fortune de 33 , 000 pièces de huit. Puisque Crusoé n’est attaché à aucun membre de la famille et est habitué à une vie errante, il pense à nouveau à quitter l’Angleterre, bien que la veuve fasse tout ce qu’elle peut pour le dissuader. Crusoé se marie, mais après la mort de sa femme, il décide de se diriger vers les Indes orientales en tant que commerçant privé en 1694. Au cours de ce voyage, il revisite son île. Crusoé constate que les Espagnols qui y sont restés ont subjugué les mutins, les traitant avec bonté. Crusoé leur offre du bétail, des fournitures et même des femmes. La colonie a survécu à une invasion cannibale et prospère maintenant. Analyse chapitres XXVIII à XXXI Les derniers chapitres nous obligent à réévaluer l’évasion de l’île dont Crusoé a passé des décennies à rêver. Il est ironique qu’il ait aspiré, comploté et travaillé pour quitter l’île, mais quand il le fait enfin, le retour à la maison semble curieusement insatisfaisant. On pourrait imaginer que l’Europe se sent en sécurité et à l’aise avec lui après son épreuve, mais le contraire est vrai en Espagne, Crusoé fait face à des intempéries, à un ours et à 300loups affamés. Son île avec son écrin semble positivement luxueuse en comparaison. L’Europe n’offre pas non plus à Crusoé la société humaine dont il a rêvé en tant que naufragé. La veuve et le capitaine portugais sont gentils, mais nous sentons qu’ils ne lui offrent pas l’amour et l’affection intense que vendredi lui montre. Quand Crusoé se marie en Angleterre, il semble indifférent à sa femme, dont il ne prend même pas la peine de nous dire le nom. Bref, sans pas de famille» et peu de relations», et peu intéressé à forger de nouvelles relations, Crusoé semble presque aussi isolé en Angleterre que sur son île. Defoe nous invite ainsi à nous demander si Crusoé aurait été plus heureux s’il était resté pour toujours dans son petit royaume et nous fait douter de la valeur du retour à la civilisation que Crusoé pense désirer. La dimension religieuse de l’épreuve de Crusoé atteint son apogée dans son salut final et sa récompense. Crusoé récupère si facilement sa fortune antérieure – et, en fait, la trouve si immensément multipliée – que la restauration de ses biens ressemble plus à une aubaine miraculeuse – manne du ciel – qu’à une simple bonne chance. Nous sentons que Crusoé imagine que Dieu le récompense pour sa patience dévouée, surtout quand il se compare explicitement à Job Je pourrais bien dire maintenant, en effet, que la dernière fin de Job était meilleure que le début. Pour Crusoé, le naufrage, les décennies d’isolement et le sauvetage final n’ont pas été simplement des événements d’une longue histoire d’aventures, comme les enfants le lisent aujourd’hui, mais des éléments d’un récit religieux ou moral d’instruction. Plus précisément, il s’agit d’un conte protestant, mettant l’accent sur les vertus d’indépendance, d’auto-examen, et un travail acharné. Crusoé souligne cet aspect protestant en mentionnant à deux reprises qu’il ne va pas au Brésil parce qu’il devrait s’y convertir et y vivre en catholique. Implicitement, Crusoé fait de sa survie une preuve de l’approbation de Dieu pour sa foi particulière. L’histoire de Crusoé est souvent lue dans les temps modernes comme une allégorie du colonialisme, et il y a beaucoup dans les derniers chapitres pour défendre ce point de vue. L’assujettissement de vendredi à Crusoé reflète les relations raciales coloniales, en particulier dans la conviction inconditionnelle de Crusoé qu’il aide vendredi en faisant de lui un serviteur. De plus, la terminologie coloniale apparaît. Lorsqu’ils ont affaire aux mutins hostiles, Crusoé et le capitaine les intimident en se référant à un gouverneur» fictif de l’île qui les punira sévèrement. Cette fiction d’un gouverneur préfigure le gouverneur très réel qui sera sans doute installé sur l’île à terme, puisque Crusoé a apparemment revendiqué le territoire de l’Angleterre. La prospérité de l’île après le départ de Crusoé est soulignée dans le dernier chapitre ce n’est plus un terrain vague, comme à son arrivée, mais une communauté florissante avec des femmes et des enfants. Cette notion d’apporter triomphalement les bénédictions de la civilisation à un lieu désolé et sous-développé était un thème commun de la pensée coloniale européenne. En effet, Crusoé fait explicitement référence à cette communauté comme ma nouvelle colonie dans l’île», ce qui nous amène à nous demander s’il la considère vraiment comme sa propre, et s’il s’agit officiellement d’une colonie ou simplement au sens figuré. En tout cas, Crusoé a transformé son histoire de la survie d’un homme en un conte politique rempli de ses propres idées sur l’impérialisme. Créé avecCréer un site web de qualité professionnelle et personnalisable sans aucune connaissance en programmation Le résumé très détaillé de Vendredi ou la vie sauvage chapitre par chapitre Vous pouvez commander Vendredi ou la vie sauvage sur amazon dès maintenant ! Si vous préférez un résumé de Vendredi ou la vie sauvage moins dense, je vous conseille d’aller lire la liste des évènements principaux du livre. CHAPITRE 1 Une terrible tempête précipite la galiote Virginie » sur laquelle voyage Robinson. Le bateau se trouve dans la région de l’Archipel Juan Fernandez, au large des côtes du Chili. Le capitaine Van Deysel et Robinson sont en train de jouer aux cartes. Naufrage. CHAPITRE 2 Robinson est le seul survivant et a mal à l’épaule. Il reprend connaissance et constate qu’il est sur une île déserte. Il rencontre un bouc qui semble étonné, le bouc baisse la tête et grogne. Triste et fatigué, il s’endort après avoir mangé un ananas. CHAPITRE 3 Robinson est réveillé par les premiers rayons du soleil et fait cuire le cadavre du bouc qui il a tué la veille. CHAPITRE 4 Changement d’attitude, Robinson visite la Virginie et prend tout le matériel dont il aura besoin pour construire une embarcation assez importante pour rejoindre le Chili et la nomme par avance L’Evasion ». Il trouve une bible dans la cabine du second en plus des outils. CHAPITRE 5 Robinson se met au travail sans oublier de surveiller l’horizon en espérant la survenue d’un navire. Le bateau est terminé mais comme il est lourd, il ne peut le déplacer. CHAPITRE 6 Découragé par l’échec de L’Evasion », Robinson s’enfonce dans la boue comme les pécaris et les émanations lui troublent l’esprit. Il fait des hallucinations, il voit sa sœur morte depuis deux ans sur une galère imaginaire. CHAPITRE 7 Robinson comprend qu’il doit s’habituer à vivre sur l’île, alors il décide de construire une petite maison et d’élever des animaux domestiques de la forêt et il est heureux de retrouver Tenn, le chien de la Virginie. Il se sert de l’encre contenue dans le ventre d’un poisson pour écrire son journal. CHAPITRE 8 Le héros donne des lois à l’île qu’il baptise Speranza » sur un livre récupéré à bord de la Virginie. Robinson reçoit ses premiers visiteurs, des Indiens redoutable qui sont venus pour tuer l’un d’eux qui est responsable d’un malheur qui a frappé la tribu. Après avoir terminé les Indiens quittent l’île. CHAPITRE 9 Robinson se prépare contre les attaques qui pourraient être effectuées par des étrangers. En parallèle à ces opérations militaires, Robinson effectue des réparations et fait la récolte des céréales pour manger son premier pain sur l’île. Mais l’abondance des céréales l’oblige à lutter contre les rats qu’il arrive à vaincre. CHAPITRE 10 Robinson se sent seul et triste, il ne parvient plus à sourire mais il peut compter que l’aide de Tenn qui le lui réapprend. CHAPITRE 11 Robinson organise et civilise son île. Il a également de nombreuses tâches quotidiennes à remplir. CHAPITRE 12 Robinson décide d’aller explorer le fond de la grotte où il met ce qu’il a de précieux. Suite à la disparition de la lumière il trouve un trou dans une cheminée où il s’était glissé après s’être frotté le corps avec du lait caillé. Il y perd la notion du temps car il imagine qu’il est près de sa famille et c’est là qu’il comprend qu’il doit sortir du trou. CHAPITRE 13 Robinson entame la fabrication d’une clepsydre, horloge qui donne l’heure grâce à de l’eau et un contenant gradué. Il attaque également la mise en place dune rizière. Il voit également la fumée blanche dans le ciel, signe d’une nouvelle victime indienne et il comprend qu’il doit faire face à la deuxième visite des indiens. L’indien arrive à s’enfuir de ses bourreaux et se dirige vers Robinson. Tenn attire l’attention en aboyant et Robinson tire un coup de feu qui tue un indien et provoque la fuite de ses congénères. L’indien rescapé s’incline devant Robinson en signe de soumission. CHAPITRE 14 Robinson et l’Indien se repose après une nuit fatigante. Le lendemain l’espoir revient et Robinson montre son bateau à l’indien. Mais là, déception le radeau s’écroule, mangé par les termites. CHAPITRE 15 Le héros nomme l’Indien Vendredi du nom du jour durant lequel il fut sauvé. Robinson lui apprend l’anglais et lui donne de diverses tâches à faire. En échange, Vendredi est payé avec les pièces de monnaie trouvées sur l’île. Afin de visiter l’île, Vendredi construit une pirogue. CHAPITRE 16 Vendredi entreprend d’élever et d’apprivoiser un couple de rats, cela ne convient pas à Robinson qui s’en débarrasse. L’indien fabrique également un bouclier avec la carapace d’une tortue et élève aussi un vautour abandonné en faisant tout son possible pour le nourrir et le sauver. CHAPITRE 17 Robinson s’ennui même avec deux autres compagnons ce qui le pousse à se diriger vers la grotte pendant que Vendredi habille les cactus. Maintenant que l’indien est libre il s’amuse avec Tenn et fait toutes sortes de bêtises qu’il ne peut pas faire en présence de Robinson. Suite à ces jeux, le chien s’embourbe dans la rizière et Vendredi doit ouvrir la vanne afin de faire baisser le niveau d’eau. CHAPITRE 18 A la sortie de la grotte où seul Tenn l’attend fidèlement devant le seuil, Robinson apprend ce qui s’est passé et devient furieux. Quant à Vendredi il a déjà construit une petite habitation à l’aide de l’herbe et de feuilles sèches avec un hamac, c’est son repère secret. Robinson le trouve dans son repère. CHAPITRE 19 Vendredi trouve un nouveau loisir la pipe. En fumant en cachette Vendredi jette la pipe de Robinson dans la grotte ce qui cause l’explosion de quarante tonneaux de poudre qu’avait stocké Robinson dans la grotte à l’abri de la pluie. Cela entraîne la mort de Tenn. CHAPITRE 20 L’explosion a détruit toutes les constructions sur l’île et les bouleversements sont nombreux les chèvres sont libérées et reviennent à l’état sauvage, la grotte est maintenant inaccessible. Ils retrouvent également le cadavre du chien. CHAPITRE 21 Suite à ces changements, Robinson change de mentalité et c’est le début d’une nouvelle vie sans règles. Vendredi mène maintenant le jeu, il profite de sa liberté en s’amusant à confectionner des arcs et des flèches. CHAPITRE 22 Vendredi montre la cuisine étrange de sa tribu à Robinson. CHAPITRE 23 Les deux habitants de l’île se disputent à cause d’un plat de Vendredi que Robinson refuse de manger et Robinson en réaction donne un coup de pied dans l’assiette de Vendredi . L’indien, fou de rage, le quitte quelques instants puis revient accompagné d’une poupée qui représente Robinson. Robinson fait la même chose et dessine le corps de Vendredi sur le sable. CHAPITRE 24 Vendredi trouve un autre jeu encore plus amusant, il se déguise en Robinson et se présente à lui. Alors ce dernier comprend qu’il doit faire la même chose. Ce jeu fait du bien à Vendredi et même à Robinson qui a un peu de remords d’avoir été un maître dur pour Vendredi. CHAPITRE 25 Vendredi retrouve un des deux tonneaux de poudre que Robinson avait enterrés. Robinson est surpris de le voir si heureux. Comme il n’y a plus de fusil Vendredi invite Robinson à s’amuser en mettant un peu de poudre dans le feu ce qui donne des flammes vertes. CHAPITRE 26 Après la catastrophe Vendredi connaît suffisamment l’anglais pour comprendre les ordres de Robinson. Un jour Vendredi montre à Robinson la ressemblance qu’il trouvait dans les choses comme le galet et la lune, les larmes et la pluie, et cela devient un jeu de mot amusant entre les deux amis. CHAPITRE 27 Un matin Vendredi est réveillé par la voix de son ami qui l’appelle par son nom. L’appel retentit à nouveau, ce sont des perroquets qui sont venus prendre leurs œufs. Pour éviter le bruit des bêtes Robinson et Vendredi communiquent avec des gestes jusqu’à ce que les oiseaux quittent l’île. CHAPITRE 28 L’indien trouve un nouveau jeu qui consiste à se battre avec les boucs et à nouer une liane autour du cou des vaincus. Il trouve une petite chèvre qui a une patte cassée et la soigne. Vendredi et Anda la chèvre deviennent inséparables, ce qui rend Robinson jaloux. Un jour Vendredi cherche le roi des chèvres Andoar, mais ce dernier le fait tomber du haut d’un rocher. Après être guéri Vendredi revient dans la forêt pour battre le bouc et retrouver Anda qui avait disparu. L’Indien ne met pas beaucoup de temps pour retrouver Andoar et le combat commence. CHAPITRE 29 A l’aide de sa longue-vue Robinson a observé la chute des deux adversaires. Quand il vient les rejoindre il découvre le cadavre d’Andoar sous Vendredi, le bouc est mort en le sauvant. CHAPITRE 30 Après quelques jours Vendredi revient à la dépouille du bouc et la tranche, conserve ses intestins et lui enlève la peau afin d’en faire un cerf-volant. CHAPITRE 31 Comme Robinson est sujet aux vertiges depuis son enfance, il décide de s’en débarrasser en escaladant l’araucaria, l’un des plus grands arbres de l’île. CHAPITRE 32 Vendredi voulant faire voler Andoar, il attache le cerf-volant fabriqué avec la peau du bouc à l’arrière de la pirogue. CHAPITRE 33 Vendredi promet mystérieusement à Robinson qu’il va faire chanter Andoar, pour cela, il se saisit de sa tête pour en faire un instrument de musique. Une tempête fait jouer de l’instrument de musique. CHAPITRE 34 Vendredi et Robinson reçoivent des visiteurs anglais avec l’arrivée d’un voilier, le Whitebird », ces derniers apprennent à Robinson qu’ils sont en 1787, cela rendit Robinson ému, il a vécu 28 ans dans cette ile et il est maintenant âgé de 50 ans mais il se sent encore plus jeune. Les visiteurs et notamment le commandant William Hunter invitent les habitants de l’île pour déjeuner. L’équipage du bateau détruit et incendie l’île. En conséquence, Robinson ne veut pas quitter l’île car il retrouve sur le bateau la méchanceté des gens qui reflète ce qui se passe dans le monde civilisé. Robinson rencontre également Jean, le mousse. Le Whitebird » repart sans Robinson, ni Vendredi. CHAPITRE 35 Robinson, en se réveillant, va trouver Vendredi mais il n’est pas dans son hamac. Ses objets préférés ont disparu, ainsi que Anda, la chèvre. Robinson fait le tour de l’île pour le retrouver mais ne le trouve pas. Il comprend que Vendredi l’a trahi, il est parti à bord du Whitebird ». Il pleure toutes les larmes de son corps. Finalement il s’aperçoit qu’il n’est pas tout seul, Jean est resté sur l’île pour l’accompagner. Robinson le nomme Dimanche. Maintenant que vous avez fini la lecture de ce résumé de Vendredi ou la vie sauvage, je vous invite à aller faire un tour sur les autres rubriques du site analyse des personnages Robinson et Vendredi questionnaire sur Vendredi ou la vie sauvage Recherches qui ont permis de trouver cet article résumé très détaillé de vendredi ou la vie sauvageresumé sur vendredi ou la vie sauvagevendredi ou la vie sauvage de michel tournierrésumé du chapitre 1 de vendredi ou la vie sauvageresume vendredi ou la vie sauvage 5emevendredi ou la vie sauvage chapitre 1vendredi ou la vie sauvage résumé courtvendredi ou la vie sauvage résumé 5eme I MARSEILLE. — L’ARRIVÉE. Le 24 février 1815, la vigie de Notre-Dame de la Garde signala le trois-mâts le Pharaon, venant de Smyrne, Trieste et Naples. Comme d’habitude, un pilote côtier partit aussitôt du port, rasa le château d’If, et alla aborder le navire entre le cap de Morgion et l’île de Rion. Aussitôt, comme d’habitude encore, la plate-forme du fort Saint-Jean s’était couverte de curieux ; car c’est toujours une grande affaire à Marseille que l’arrivée d’un bâtiment, surtout quand ce bâtiment, comme le Pharaon, a été construit, gréé, arrimé sur les chantiers de la vieille Phocée, et appartient à un armateur de la ville. Cependant ce bâtiment s’avançait ; il avait heureusement franchi le détroit que quelque secousse volcanique a creusé entre l’île de Calasareigne et l’île de Jaros ; il avait doublé Pomègue, et il s’avançait sous ses trois huniers, son grand foc et sa brigantine, mais si lentement et d’une allure si triste, que les curieux, avec cet instinct qui pressent un malheur, se demandaient quel accident pouvait être arrivé à bord. Néanmoins les experts en navigation reconnaissaient que si un accident était arrivé, ce ne pouvait être au bâtiment lui-même ; car il s’avançait dans toutes les conditions d’un navire parfaitement gouverné son ancre était en mouillage, ses haubans de beaupré décrochés ; et près du pilote, qui s’apprêtait à diriger le Pharaon par l’étroite entrée du port de Marseille, était un jeune homme au geste rapide et à l’œil actif, qui surveillait chaque mouvement du navire et répétait chaque ordre du pilote. La vague inquiétude qui planait sur la foule avait particulièrement atteint un des spectateurs de l’esplanade de Saint-Jean, de sorte qu’il ne put attendre l’entrée du bâtiment dans le port ; il sauta dans une petite barque et ordonna de ramer au-devant du Pharaon, qu’il atteignit en face de l’anse de la Réserve. En voyant venir cet homme, le jeune marin quitta son poste à côté du pilote, et vint, le chapeau à la main, s’appuyer à la muraille du bâtiment. C’était un jeune homme de dix-huit à vingt ans, grand, svelte, avec de beaux yeux noirs et des cheveux d’ébène ; il y avait dans toute sa personne cet air calme et de résolution particulier aux hommes habitués depuis leur enfance à lutter avec le danger. — Ah ! c’est vous, Dantès ! cria l’homme à la barque ; qu’est-il donc arrivé, et pourquoi cet air de tristesse répandu sur tout votre bord ? — Un grand malheur, monsieur Morrel ! répondit le jeune homme, un grand malheur, pour moi surtout à la hauteur de Civita-Vecchia, nous avons perdu ce brave capitaine Leclère. — Et le chargement ? demanda vivement l’armateur. — Il est arrivé à bon port, monsieur Morrel, et je crois que vous serez content sous ce rapport ; mais ce pauvre capitaine Leclère… — Que lui est-il donc arrivé ? demanda l’armateur d’un air visiblement soulagé ; que lui est-il donc arrivé, à ce brave capitaine ? — Il est mort. — Tombé à la mer ? — Non, monsieur ; mort d’une fièvre cérébrale, au milieu d’horribles souffrances. Puis, se retournant vers ses hommes — Holà hé ! dit-il, chacun à son poste pour le mouillage ! L’équipage obéit. Au même instant, les huit ou dix matelots qui le composaient s’élancèrent les uns sur les écoutes, les autres sur les bras, les autres aux drisses, les autres aux hallebas des focs, enfin les autres aux cargues des voiles. Le jeune marin jeta un coup d’œil nonchalant sur ce commencement de manœuvre, et, voyant que ses ordres allaient s’exécuter, il revint à son interlocuteur. — Et comment ce malheur est-il donc arrivé ? continua l’armateur, reprenant la conversation où le jeune marin l’avait quittée. — Mon Dieu, monsieur, de la façon la plus imprévue après une longue conversation avec le commandant du port, le capitaine Leclère quitta Naples fort agité ; au bout de vingt-quatre heures, la fièvre le prit ; trois jours après il était mort… Nous lui avons fait les funérailles ordinaires, et il repose, décemment enveloppé dans un hamac, avec un boulet de trente-six aux pieds et un à la tête, à la hauteur de l’île d’el Giglio. Nous rapportons à sa veuve sa croix d’honneur et son épée. C’était bien la peine, continua le jeune homme avec un sourire mélancolique, de faire dix ans la guerre aux Anglais pour en arriver à mourir, comme tout le monde, dans son lit. — Dame ! que voulez-vous, monsieur Edmond, reprit l’armateur qui paraissait se consoler de plus en plus, nous sommes tous mortels, et il faut bien que les anciens fassent place aux nouveaux, sans cela il n’y aurait pas d’avancement ; et du moment que vous m’assurez que la cargaison… — Est en bon état, monsieur Morrel, je vous en réponds. Voici un voyage que je vous donne le conseil de ne point escompter pour 25,000 fr. de bénéfice. Puis, comme on venait de dépasser la tour ronde — Range à carguer les voiles de hune, le foc et la brigantine ! cria le jeune marin ; faites penaud ! L’ordre s’exécuta avec presque autant de promptitude que sur un bâtiment de guerre. — Amène et cargue partout ! Au dernier commandement, toutes les voiles s’abaissèrent, et le navire s’avança d’une façon presque insensible, ne marchant plus que par l’impulsion donnée. — Et maintenant, si vous voulez monter, monsieur Morrel, dit Dantès voyant l’impatience de l’armateur, voici votre comptable, M. Danglars, qui sort de sa cabine, et qui vous donnera tous les renseignements que vous pouvez désirer. Quant à moi, il faut que je veille au mouillage et que je mette le navire en deuil. L’armateur ne se le fit pas dire deux fois. Il saisit un câble que lui jeta Dantès, et, avec une dextérité qui eût fait honneur à un homme de mer, il gravit les échelons cloués sur le flanc rebondi du bâtiment, tandis que celui-ci, retournant à son poste de second, cédait la conversation à celui qu’il avait annoncé sous le nom de Danglars, et qui, sortant de sa cabine, s’avançait effectivement au-devant de l’armateur. Le nouveau venu était un homme de vingt-cinq à vingt-six ans, d’une figure assez sombre, obséquieux envers ses supérieurs, insolent envers ses subordonnés ; aussi, outre son titre d’agent comptable, qui est toujours un motif de répulsion pour les matelots, était-il généralement aussi mal vu de l’équipage qu’Edmond Dantès au contraire en était aimé. — Eh bien ! monsieur Morrel, dit Danglars, vous savez le malheur, n’est-ce pas ? — Oui, oui. Pauvre capitaine Leclère ! c’était un brave et honnête homme ! — Et un excellent marin surtout, vieilli entre le ciel et l’eau, comme il convient à un homme chargé des intérêts d’une maison aussi importante que la maison Morrel et fils, répondit Danglars. — Mais, dit l’armateur, suivant des yeux Dantès qui cherchait son mouillage, mais il me semble qu’il n’y a pas besoin d’être si vieux marin que vous le dites, Danglars, pour connaître son métier, et voici notre ami Edmond qui fait le sien, ce me semble, en homme qui n’a besoin de demander des conseils à personne. — Oui, dit Danglars en jetant sur Dantès un regard oblique où brilla un éclair de haine, oui, c’est jeune, et cela ne doute de rien. À peine le capitaine a-t-il été mort qu’il a pris le commandement sans consulter personne, et qu’il nous a fait perdre un jour et demi à l’île d’Elbe au lieu de revenir directement à Marseille. — Quant à prendre le commandement du navire, dit l’armateur, c’était son devoir comme second ; quant à perdre un jour et demi à l’île d’Elbe, il a eu tort ; à moins que le navire n’ait eu quelque avarie à réparer. — Le navire se portait comme je me porte, et comme je désire que vous vous portiez, monsieur Morrel ; et cette journée et demie a été perdue par pur caprice, pour le plaisir d’aller à terre, voilà tout. — Dantès, dit l’armateur se retournant vers le jeune homme, venez donc ici. — Pardon, Monsieur, dit Dantès, je suis à vous dans un instant. Puis s’adressant à l’équipage — Mouille ! dit-il. Aussitôt l’ancre tomba, et la chaîne fila avec bruit. Dantès resta à son poste, malgré la présence du pilote, jusqu’à ce que cette dernière manœuvre fût terminée ; puis alors Abaissez la flamme à mi-mât, mettez le pavillon en berne, croisez les vergues ! — Vous voyez, dit Danglars, il se croit déjà capitaine, sur ma parole. — Et il l’est de fait, dit l’armateur. — Oui, sauf votre signature et celle de votre associé, monsieur Morrel. — Dame ! pourquoi ne le laisserions-nous pas à ce poste ? dit l’armateur. Il est jeune, je le sais bien, mais il me paraît tout à la chose, et fort expérimenté dans son état. Un nuage passa sur le front de Danglars. — Pardon, monsieur Morrel, dit Dantès en s’approchant ; maintenant que le navire est mouillé, me voilà tout à vous vous m’avez appelé, je crois ? Danglars fit un pas en arrière. — Je voulais vous demander pourquoi vous vous étiez arrêté à l’île d’Elbe ? — Je l’ignore, Monsieur ; c’était pour accomplir un dernier ordre du capitaine Leclère, qui, en mourant, m’avait remis un paquet pour le grand maréchal Bertrand. — L’avez-vous donc vu, Edmond ? — Qui ? — Le grand maréchal ? — Oui. Morrel regarda autour de lui, et tira Dantès à part. — Et comment va l’empereur ? demanda-t-il vivement. — Bien, autant que j’ai pu en juger par mes yeux. — Vous avez donc vu l’empereur aussi ? — Il est entré chez le maréchal pendant que j’y étais. — Et vous lui avez parlé ? — C’est-à-dire que c’est lui qui m’a parlé, Monsieur, dit Dantès en souriant. — Et que vous a-t-il dit ? — Il m’a fait des questions sur le bâtiment, sur l’époque de son départ pour Marseille, sur la route qu’il avait suivie et sur la cargaison qu’il portait. Je crois que s’il eût été vide, et que j’en eusse été le maître, son intention eût été de l’acheter ; mais je lui ai dit que je n’étais que simple second, et que le bâtiment appartenait à la maison Morrel et fils. — Ah ! ah ! a-t-il dit, je la connais. Les Morrel sont armateurs de père en fils, et il y avait un Morrel qui servait dans le même régiment que moi lorsque j’étais en garnison à Valence. — C’est pardieu vrai ! s’écria l’armateur tout joyeux ; c’était Policar Morrel, mon oncle, qui est devenu capitaine. Dantès, vous direz à mon oncle que l’empereur s’est souvenu de lui, et vous le verrez pleurer, le vieux grognard. Allons, allons, continua l’armateur en frappant amicalement sur l’épaule du jeune homme, vous avez bien fait, Dantès, de suivre les instructions du capitaine Leclère et de vous arrêter à l’île d’Elbe, quoique, si l’on savait que vous avez remis un paquet au maréchal et causé avec l’empereur, cela pourrait vous compromettre. — En quoi voulez-vous, Monsieur, que cela me compromette ? dit Dantès je ne sais pas même ce que je portais, et l’empereur ne m’a fait que les questions qu’il eût faites au premier venu. Mais, pardon, reprit Dantès, voici la santé et la douane qui nous arrivent ; vous permettez, n’est-ce pas ? — Faites, faites, mon cher Dantès. Le jeune homme s’éloigna, et, comme il s’éloignait, Danglars se rapprocha. — Eh bien ! demanda-t-il, il paraît qu’il vous a donné de bonnes raisons de son mouillage à Porto-Ferrajo ? — D’excellentes, mon cher monsieur Danglars. — Ah ! tant mieux, répondit celui-ci, car c’est toujours pénible de voir un camarade qui ne fait pas son devoir. — Dantès a fait le sien, répondit l’armateur, et il n’y a rien à dire. C’était le capitaine Leclère qui lui avait ordonné cette relâche. — À propos du capitaine Leclère, ne vous a-t-il pas remis une lettre de lui ? — Qui ? — Dantès. — À moi, non ! En avait-il donc une ? — Je croyais qu’outre le paquet, le capitaine Leclère lui avait confié une lettre. — De quel paquet voulez-vous parler, Danglars ? — Mais de celui que Dantès a déposé en passant à Porto-Ferrajo ? — Comment savez-vous qu’il avait un paquet à déposer à Porto-Ferrajo ? Danglars rougit. — Je passais devant la porte du capitaine qui était entr’ouverte, et je lui ai vu remettre ce paquet et cette lettre à Dantès. — Il ne m’en a point parlé, dit l’armateur ; mais s’il a cette lettre, il me la remettra. Danglars réfléchit un instant. — Alors, monsieur Morrel, je vous prie, dit-il, ne parlez point de cela à Dantès ; je me serai trompé. En ce moment, le jeune homme revenait ; Danglars s’éloigna. — Eh bien, mon cher Dantès, êtes-vous libre ? demanda l’armateur. — Oui, Monsieur. — La chose n’a pas été longue. — Non, j’ai donné aux douaniers la liste de nos marchandises ; et quant à la consigne, elle avait envoyé avec le pilote côtier un homme à qui j’ai remis nos papiers. — Alors, vous n’avez plus rien à faire ici ? Dantès jeta un regard rapide autour de lui. — Non, tout est en ordre, dit-il. — Vous pouvez donc alors venir dîner avec nous ? — Excusez-moi, monsieur Morrel, excusez-moi, je vous prie, mais je dois ma première visite à mon père. Je n’en suis pas moins reconnaissant de l’honneur que vous me faites. — C’est juste, Dantès, c’est juste. Je sais que vous êtes bon fils. — Et… demanda Dantès avec une certaine hésitation, et il se porte bien, que vous sachiez, mon père ? — Mais je crois que oui, mon cher Edmond, quoique je ne l’aie pas aperçu. — Oui, il se tient enfermé dans sa petite chambre. — Cela prouve au moins qu’il n’a manqué de rien pendant votre absence. Dantès sourit. — Mon père est fier, monsieur, et, eût-il manqué de tout, je doute qu’il eût demandé quelque chose à qui que ce soit au monde, excepté à Dieu. — Eh bien, après cette première visite, nous comptons sur vous. — Excusez-moi encore, monsieur Morrel ; mais, après cette première visite, j’en ai une seconde qui ne me tient pas moins au cœur. — Ah ! c’est vrai, Dantès ; j’oubliais qu’il y a aux Catalans quelqu’un qui doit vous attendre avec non moins d’impatience que votre père c’est la belle Mercédès. Dantès sourit. — Ah ! ah ! dit l’armateur, cela ne m’étonne plus, qu’elle soit venue trois fois me demander des nouvelles du Pharaon. Peste ! Edmond, vous n’êtes point à plaindre, et vous avez là une jolie maîtresse ! — Ce n’est point ma maîtresse, monsieur, dit gravement le jeune marin c’est ma fiancée. — C’est quelquefois tout un, dit l’armateur en riant. — Pas pour nous, Monsieur, répondit Dantès. — Allons, allons, mon cher Edmond, continua l’armateur, que je ne vous retienne pas ; vous avez assez bien fait mes affaires pour que je vous donne tout loisir de faire les vôtres. Avez-vous besoin d’argent ? — Non, Monsieur ; j’ai tous mes appointements du voyage, c’est-à-dire près de trois mois de solde. — Vous êtes un garçon rangé, Edmond. — Ajoutez que j’ai un père pauvre, Monsieur Morrel. — Oui, oui, je sais que vous êtes un bon fils. Allez donc voir votre père j’ai un fils aussi, et j’en voudrais fort à celui qui, après un voyage de trois mois, le retiendrait loin de moi. — Alors, vous permettez ? dit le jeune homme en saluant. — Oui, si vous n’avez rien de plus à me dire. — Non. — Le capitaine Leclère ne vous a pas, en mourant, donné une lettre pour moi ? — Il lui eût été impossible d’écrire, Monsieur ; mais cela me rappelle que j’aurai un congé de quinze jours à vous demander. — Pour vous marier ? — D’abord ; puis pour aller à Paris. — Bon, bon ! vous prendrez le temps que vous voudrez, Dantès ; le temps de décharger le bâtiment nous prendra bien six semaines, et nous ne nous remettrons guère en mer avant trois mois… Seulement, dans trois mois, il faudra que vous soyez là. Le Pharaon, continua l’armateur en frappant sur l’épaule du jeune marin, ne pourrait pas repartir sans son capitaine. — Sans son capitaine ! s’écria Dantès les yeux brillants de joie ; faites bien attention à ce que vous dites là, Monsieur, car vous venez de répondre aux plus secrètes espérances de mon cœur. Votre intention serait-elle de me nommer capitaine du Pharaon ? — Si j’étais seul, je vous tendrais la main, mon cher Dantès, et je vous dirais C’est fait ; mais j’ai un associé, et vous savez le proverbe italien Che a compagne a padrone. » Mais la moitié de la besogne est faite au moins, puisque sur deux voix vous en avez déjà une. Rapportez-vous-en à moi pour avoir l’autre, et je ferai de mon mieux. — Oh ! monsieur Morrel, s’écria le jeune marin, saisissant, les larmes aux yeux, les mains de l’armateur ; monsieur Morrel, je vous remercie, au nom de mon père et de Mercédès. — C’est bien, c’est bien, Edmond, il y a un Dieu au ciel pour les braves gens, que diable ! Allez voir votre père, allez voir Mercédès, et revenez me trouver après. — Mais vous ne voulez pas que je vous ramène à terre ? — Non, merci ; je reste à régler mes comptes avec Danglars. Avez-vous été content de lui pendant le voyage ? — C’est selon le sens que vous attachez à cette question, monsieur. Si c’est comme bon camarade, non, car je crois qu’il ne m’aime pas depuis le jour où j’ai eu la bêtise, à la suite d’une petite querelle que nous avions eue ensemble, de lui proposer de nous arrêter dix minutes à l’île de Monte-Cristo pour vider cette querelle ; proposition que j’avais eu tort de lui faire, et qu’il avait eu, lui, raison de refuser. Si c’est comme comptable que vous me faites cette question, je crois qu’il n’y a rien à dire et que vous serez content de la façon dont sa besogne est faite. — Mais, demanda l’armateur, voyons, Dantès, si vous étiez capitaine du Pharaon, garderiez-vous Danglars avec plaisir ? — Capitaine ou second, monsieur Morrel, répondit Dantès, j’aurai toujours les plus grands égards pour ceux qui posséderont la confiance de mes armateurs. — Allons, allons, Dantès, je vois qu’en tout point vous êtes un brave garçon. Que je ne vous retienne plus allez, car je vois que vous êtes sur des charbons. — J’ai donc mon congé ? demanda Dantès. — Allez, vous dis-je. — Vous permettez que je prenne votre canot ? — Prenez. — Au revoir, monsieur Morrel, et mille fois merci. — Au revoir, mon cher Edmond, bonne chance ! Le jeune marin sauta dans le canot, alla s’asseoir à la poupe, et donna l’ordre d’aborder à la Canebière. Deux matelots se penchèrent aussitôt sur leurs rames, et l’embarcation glissa aussi rapidement qu’il est possible de le faire, au milieu des mille barques qui obstruent l’espèce de rue étroite qui conduit, entre deux rangées de navires, de l’entrée du port au quai d’Orléans. L’armateur le suivit des yeux en souriant, jusqu’au bord, le vit sauter sur les dalles du quai, et se perdre aussitôt au milieu de la foule bariolée qui, de cinq heures du matin à neuf heures du soir, encombre cette fameuse rue de la Canebière, dont les Phocéens modernes sont si fiers, qu’ils disent avec le plus grand sérieux du monde et avec cet accent qui donne tant de caractère à ce qu’ils disent Si Paris avait la Canebière, Paris serait un petit Marseille. En se retournant, l’armateur vit derrière lui Danglars, qui, en apparence, semblait attendre ses ordres, mais qui, en réalité, suivait comme lui le jeune marin du regard. Seulement, il y avait une grande différence dans l’expression de ce double regard qui suivait le même homme. SECTION 1 Un capitaine de vingt ans - La justice du roi DUE DATE Thursday, November 14th, 2013 WINDOW DATE Sunday, November 17th, 2013 LE RESUME DE CHAPITRE Dans vos résumé de chapitre, vous devez inclure ces points importants. 1. L’intrigue 2. Le symbolisme 3. Le développement du personnage 4. 2 citations important et expliquez pourquoi ils sont importants Ses citations ne doivent pas être plus courtes que ½ page. L’évaluation L’intrigue vous avez donné un résumé du chapitre avec tous les informations dans les chapitre. Le symbolisme vous avez décrit le bon symbolisme du chapitre avec un analyse. Le développement du personnage vous avez décrit un développement du personnage en détail. 2 citations important vous avez trouvé des citations qui a démontré une événement important dans le chapitre et l’explication était détaillé et correcte.

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