le petit doigt sur la couture du pantalon
3 Récupérez le rectangle avec la marge de 1cm de couture de cercle comme le montre l'image du haut. 4. pour polir le bord, coudre le ruban de biais comme nous l'avons fait dans ce bricolage 5. faire un ourlet de 2cm pour passer le ruban de biais. (auparavant, assurez-vous que le sac a un trou pour passer le ruban, vous pouvez également
Productdescription: Un parcours composé de 18 cours vidéo de couture pour se préparer à l'examen du CAP Métiers de la mode Vêtement flou. Dans ce parcours, vous retrouverez tous nos modules de formation au CAP MMVF : adaptations de patrons, patronnage, lecture des informations techniques, lecture des gammes de montage prise en main de la
Pourune jolie petite fille née à l'été, j'ai crocheté un gilet, le même que ce petit gilet d'un précédent billet.. Même patron disponible sur Un Grand Marché ou sur Etsy, du fil de coton, mais la taille au dessus pour qu'elle puisse le porter au prochain printemps.. Et pour sa grande soeur Léane qui me fait l'honneur d'être fan de ma dinette au crochet, j'ai fait un
traduzionedi le (petit) doigt sur la couture du pantalon nel dizionario Francese - Francese, consulta anche 'en petit',petit à petit',à petit prix',aller petit train', esempi, coniugazione, pronuncia
Merde le pantalon. Je passe 10 bonnes minutes à faire le pli. Il est pas raccord avec ce qui reste du précédent. Pas grave, c'est mieux que rien, ça ira comme ça. Hop, enfilage du pantalon. Puis petit déjeuner, rapide, avec Alex qui sort de la douche à son tour. Je mets mes pompes en finissant mon café. houlà ! déjà cette heure là.
Rencontre Femme Antillaise Ile De France. Aller au contenuUn nouveau pantalon ultra facile et rapide à réaliser. En plus, il est fluide et super agréable à porter! La petite histoire…En ce moment, je marche au coup de cœur! Comme pour ma jupe fendue, j’ai récemment flashé sur le pantalon d’une collègue. J’étais à deux doigts de lui piquer tellement j’étais fan! D’ailleurs je n’étais pas la seule, on a failli se battre pour lui l’arracher! 藍藍 Il fallait donc que je me le fasse!C’était un pantalon très très large! On a mesuré le tour du bas d’une jambe et ça faisait 1m20!!! Je savais que pour le mien, il fallait que je réduise un peu car je n’aurais pas de tissu en quantité suffisante! J’ai divisé par deux, ce qui fait quand même de larges le tissu, pas besoin d’extensible pour une fois! J’en avais acheté un, il y a un an et demi à Coupé-Coupon, lors de la foire de Lyon et je le destinais à un pantalon donc ça tombait bien! Comme d’habitude, je ne saurais vous dire ce que c’est; peut-être du crêpe?Pour le patron et bien… il n’y en a pas! Deux rectangles suffisent!! Je vous explique ce que j’ai fait plus bas. Pour la ceinture, j’ai utilisé 3 rangées d’élastique; celui de ma collègue était fait avec des ensuite ajouté des poches car quand je l’ai essayé, ça me manquaient!Et voilà le résultatJ’adore ce pantalon, il est ultra confortable. Il peut être porté avec des talons pour une tenue classe ou avec des baskets pour une tenue fois, c’est moi qui est failli me le faire arracher par mes collègues!!Ce que j’ai fait OUTILSun tissu fluide environ 100 x 140cmde l’élastique 3 fois votre tour de tailledes fils assortisune machine à coudreune surjeteuse ou surjeteuse recouvreuse facultatifun ruban mètredes ciseauxun stylo pour tissudes pinces et /ou épingles2 boutons facutatif ÉTAPES Couper votre tissu en deux dans la longueur soit deux rectangles de 100 x votre fourche de la taille dos à la taille devant en passant entre les jambes. Diviser par deux et ajouter cette mesure sur les bords hauts des les deux rectangles l’un sur l’autre, endroit contre endroit et épingler du haut jusqu’au à 1cm du bord, soit au point droit à la machine puis surfiler au point zigzag ou à la surjeteuse, soit en 5 fils à la surjeteuse ensuite les deux coutures effectuées l’une sur l’autre en restant endroit contre puis coudre les deux jambes formées selon pointillées sur la photo ci-dessous.Avec un élastique, faites le tour de votre taille ou plus bas si comme moi vous le voulez taille basse, en tirant un peu dessus. Couper à la bonne mesure. Couper deux autres morceaux d’élastique de la même une ligne sur le tissu là où vous voulez que se trouve le bas de la ceinture du l’élastique sur le au point zigzag piqué allongé au maximum, en tirant beaucoup! sur l’ le deuxième morceau d’élastique, faites la même chose 2 cm plus même une troisième n’est pas toujours facile de rester régulier comme il faut beaucoup tirer!!Faire un petit ourlet à la machine à coudre ou un roulotté à la surjeteuse à 2 cm du dernier le bas des jambes à la bonne longueur et faire comme en haut un ourlet ou un vous voulez ajouter des pochesCouper un rectangle arrondi sur le bas d’environ 15 x 19 cm. Faire un ourlet de 3 cm sur le haut et roulotté ou surfiler tout une boutonnière au centre de l’ puis coudre les poches sur les côtés du pantalon au point droit ou au point un bouton sur le pantalon, en face de la boutonnière de chaque votre pantalon est prêt!! A bientôt!MariLyne淋Navigation de l’article
L’élection cantonale de Brignoles dans le Var continue de susciter des remous au sein de la gauche A l’Assemblée Nationale, le PS demande au Front de Gauche de "réfléchir" . Le député du Puy-de-Dôme André Chassaigne refuse d’avoir "le doigt sur la couture du pantalon". La gauche est éliminée, absente du second tour de la cantonale partielle varoise, et c’est toute la majorité qui s’emballe. Bruno Le Roux, patron des députés socialistes au Palais Bourbon, s’est interrogé publiquement. Pour lui, ces résultats "devraient faire réfléchir les communistes et le Front de Gauche, car ce n'est pas en mettant en cause la politique du gouvernement qu'on arrive à mobiliser son camp". Aussitôt, les députés du Front de Gauche, présidés par André Chassaigne, ont rejeté ces propos. Pour l'élu communiste du Puy-de-Dôme, "c'est un argument au ras des pâquerettes. Face au résultat du Front national, faisons d'abord preuve d'humilité, ne nous posons pas les uns les autres en donneur de leçons." Dire que pour bloquer la montée du FN, il faut que tout le monde ait le doigt sur la couture du pantalon et s'aligne derrière le Premier ministre, c'est une réponse décalée de la réalité", a-t-il déclaré lors d'un point presse à l'Assemblée le 8 octobre. Plutôt De Gaulle que Pétain A la différence de Jean-Luc Mélenchon qui refuse de choisir entre l’UMP et le FN pour le second tour de cette élection cantonale, le chef de file des députés du Front de gauche a jugé qu'"il faut barrer la route au FN. Je préfère encore voter pour quelqu'un qui pourrait se réclamer du général de Gaulle que voter pour quelqu'un qui serait un héritier de Pétain. "
POLITIQUE - La fonction présidentielle est devenue une illusion d'efficacité et une réalité de médiocrité. Illusion d'efficacité parce que ces bataillons de préfets, de recteurs, de directeurs d'administration le petit doigt sur la couture du pantalon, prêts à réagir nuit et jour aux décisions présidentielles ne produisent plus que quelques clapotis sur l'océan de la mondialisation. Notre système de gouvernance publique, en faisant tout reposer sur l'homme providentiel, ou demain la femme providentielle, n'est plus adapté au monde nouveau, horizontal, partenarial, multipolaire, celui des réseaux et du mode projet. Vous imaginez L'Oréal, BNP Paribas ou Total qui aurait gardé la même organisation à leur tête depuis 1958 ! La Constitution de la Ve République fête ses 55 ans. Chacun s'en réjouit tant elle a amené de la stabilité à des institutions et à une vie politique qui en manquaient au plus haut point. Dans quelques semaines à peine, en revanche, je ne sais pas si certains célèbreront les 51 ans de la révision constitutionnelle consacrant l'élection du président de la République au suffrage universel, mais, pour ma part, je ne serai pas de cet anniversaire. Je sais qu'il n'est pas politiquement correct de dire cela, tant reste puissant l'attachement des Français à cette élection, mais mon opinion est que l'élection présidentielle est devenue, septennat après septennat, quinquennat après quinquennat, un échec patent au regard des ambitions initiales des constituants et surtout un véritable drame pour la démocratie française. Il n'est pas inutile de rappeler que notre constitution d'origine n'avait pas intégré cette onction du suffrage universel au bénéfice du chef de l'État. Les rédacteurs de la nouvelle constitution respectant en cela les engagements pris devant les parlementaires et les différents partis qui redoutaient que pût s'installer une nouvelle forme de dictature, c'est un large collège de 80 000 grands électeurs, et non le peuple français dans son ensemble, qui le 21 décembre 1958 avec 78,5% des voix portait le général de Gaulle à la magistrature suprême. Chacun connait la suite -la présidentialisation très forte du régime du fait de la crise algérienne, l'attentat manqué d'un rien contre le Général au Petit-Clamart, le déclin d'un parti communiste devenu en incapacité de faire élire un candidat-et donc la proposition faite aux Français par référendum d'élire leur Président de la République au suffrage universel. On a oublié aujourd'hui le tollé que cette décision suscita à l'époque dans la classe politique. Monnerville, le président du Sénat, évoqua une "forfaiture", Guy Mollet, le leader des socialistes, un "régime à la Salazar", et le centriste Lecanuet un "régime personnel". On ne les écouta pas, mettant sur le compte d'un antigaullisme primaire leur opposition, et je crois, à la lumière des évolutions de notre système, que l'on eut bien tort de ne pas le faire dans les mots de Jean Lecanuet. Les partisans de la révision constitutionnelle expliquaient alors que l'élection au suffrage universel direct serait un progrès démocratique. On sait aujourd'hui qu'elle est en réalité un facteur puissant de concentration des pouvoirs et donc de régression démocratique. La concentration des pouvoirs conduit à toutes les dérives, aux nominations les plus contestables, aux connivences les plus détestables, tout ce que l'on a découvert une fois de de plus dans les affaires Cahuzac ou Tapie. Elle génère auprès du président une cour de "conseillers- technocrates" qui se figure très vite un gouvernement bis ; des hommes et des femmes de l'ombre, irresponsables politiquement et uniquement préoccupés à satisfaire le moindre froncement de sourcils du Prince. Les partisans de ce mode d'élection directe revendiquaient aussi l'efficacité qu'il permettrait pour le gouvernement de la France. Ce fut vrai au moment de la guerre d'Algérie et pour mener à bien la décolonisation. Ce fut sans doute vrai aussi pour achever la modernisation de notre pays encore qu'elle doit à la IVe république autant sinon plus. En tous cas, il est sûr qu'aujourd'hui l'efficacité n'est plus au rendez-vous. La fonction présidentielle est devenue une illusion d'efficacité et une réalité de médiocrité. Illusion d'efficacité parce que ces bataillons de préfets, de recteurs, de directeurs d'administration le petit doigt sur la couture du pantalon, prêts à réagir nuit et jour aux décisions présidentielles ne produisent plus que quelques clapotis sur l'océan de la mondialisation. Notre système de gouvernance publique, en faisant tout reposer sur l'homme providentiel, ou demain la femme providentielle, n'est plus adapté au monde nouveau, horizontal, partenarial, multipolaire, celui des réseaux et du mode projet. Vous imaginez L'Oréal, BNP Paribas ou Total qui aurait gardé la même organisation à leur tête depuis 1958 ! On nous expliquait aussi hier que l'élection présidentielle au suffrage universel direct était la garantie d'un président au-dessus des partis, un président arbitre délaissant le quotidien pour veiller uniquement aux sujets essentiels. Nous en sommes loin. La réalité est que ce président est non seulement le chef de l'État, mais aussi le chef du gouvernement, le chef du parti majoritaire, un "chef de tout" régissant les moindres détails de la vie gouvernementale, parlementaire et partisane. Imagine-t-on le général de Gaulle recevant à l'Élysée sa majorité au grand complet ? Septennat après septennat, quinquennat après quinquennat, cette élection a rendu "dingo" le monde politique français, l'a plongé dans une sorte de catharsis, ce phénomène de libération des passions que décrivait Aristote et qui se produit chez les spectateurs lors de la représentation d'une tragédie. La présidentielle n'est plus une élection elle est devenue une obsession. Tellement, même, que le soir de l'élection présidentielle, la classe politique a déjà les yeux braqués sur l'élection suivante. Ce phénomène a été amplifié par l'instauration du quinquennat qui a réduit aux acquêts les élections législatives ainsi que par la pratique des primaires qui conduit les partis politiques à n'être plus qu'une addition d' écuries présidentielles. Les primaires deviennent l'élection présidentielle du pauvre, une compétition à laquelle tout le monde peut participer ; ce qui renforce encore un peu plus l'obsession. Mais surtout, et c'est probablement cela le plus grave s'agissant de l'intérêt général et de notre capacité à mener les réformes qu'impose la mondialisation des économies, l'élection présidentielle empêche la construction d'un projet collectif capable de rassembler au sein de son parti puis ensuite au-delà de son propre parti pour bâtir un programme de gouvernement sur les bases politiques les plus larges possibles. Regardons par exemple ce qui se passe en Allemagne où les programmes politiques de chaque formation sont déjà conçus pour pouvoir construire des coalitions au lendemain de l'élection. C'est tout le contraire de ce qui se passe en France où chaque candidat et chaque écurie cultivent au contraire son égo et sa différence juste pour pouvoir justifier son existence politique. C'est ainsi que l'on parvient à des propositions démagogiques et irréalisables jetées à la va-vite dans les medias. Souvenons-vous de la taxe à 75% ou des 50 000 enseignants de plus annoncés par François Hollande dans une impréparation totale. L'élection présidentielle au suffrage universel fait naître chez nos compatriotes un espoir immense, lequel est bien entendu immédiatement déçu compte tenu de l'impéritie des programmes. Voilà qui nourrit chaque fois un peu plus les extrêmes qui contestent le régime lui-même. Voilà pourquoi je souhaite que nous revenions à l'esprit parlementaire de la constitution de 1958 avec un président arbitre qui ne soit plus élu au suffrage universel direct mais désigné par un collège de grands électeurs - les élus locaux ? - et un premier ministre qui soit le vrai chef du gouvernement et le dépositaire de la collégialité gouvernementale. La démocratie française se rapprocherait ainsi des grandes démocraties parlementaires européennes et conjuguerait à nouveau stabilité et efficacité.
30 Comments Vues 2 749 J’ai trouvé ce magnifique texte, une allégorie de la vie… par le biais de la couture. J’avais envie de partager avec vous ce magnifique texte la couture fait elle fuir le désespoir ? – Grand-mère, que faire quand on est désespéré ? – Coudre, mon la main, lentement, en te baignant dans chaque vague créée avec tes doigts. – La couture fait fuir le désespoir ? – Non. La couture le le regardes en face, ce l’ le tu vas plus loin. – C’est vraiment si puissant de coudre à la main ? – Bien sûr, ma gens ne cousent plus et c’est là leur tailleurs savent qu’avec une aiguille et du fil, on peut faire face à n’importe quelle situation et même la transfigurer en un merveilleux chef-d’ tes mains, c’est ébranler ton âme de manière te laissant emporter par le rythme répétitif du raccommodage et de la broderie, tu entres dans un véritable état peux y atteindre d’autres mondes. Et en toi, l’enchevêtrement de fils émotionnels s’ rien faire d’autre… – Qu’est-ce qu’on apprend en cousant ? – A faire face à chaque c’est réfléchir au point te concentres sur le point présent. C’est ce qui nous échappe dans la vie de tous les sommes désespérés parce que nous pensons toujours à l’ ce faisant, la broderie devient incohérente, imprécise, négligée. – Oui, mais grand-mère… comment surmonter ses soucis et ses craintes en cousant ? – Mon enfant, il n’y a rien à et cousant la toile de la vie de tes propres mains, tu confectionnes la robe qui te cousant, tu te connectes à ce fil très fin qui appartient à toute l’humanité et à ses cousant, tu te transformes en une araignée qui tisse sa toile, en silence, racontant au monde tous les secrets de la tissant les fils, tu tisses tes pensées, tes tu te connectes au divin qui est en toi et qui tient le début du fil dans sa main. Elena Bernabè J’ai fait une petite recherche sur l’auteure qui est visiblement italienne car ces textes sont écrits en italien Vous pouvez retrouver Elena sur sa page Facebook Elena Bernabè – Scrittrice » elle partage beaucoup de texte et grâce à la magie du net vous avez la traduction des textes en français. Elle a même été publiée un livre bien entendu en Italien Et voici le texte original en italien Nonna, cosa si fa se si è disperati? » Si cuce bambina mia. A mano, lentamente. Gustandosi ogni onda creata con le proprie dita. » Cucire fa allontanare la disperazione? » No. Cucendo tu la decori. La guardi in faccia. L’affronti. Le dai forma. L’attraversi. E vai oltre. » Davvero è così potente cucire a mano? » Certo cara. La gente non cuce più e per questo è disperata. Le sarte sanno che con ago e filo puoi affrontare qualsiasi situazione buia riuscendo anche a creare dei meravigliosi capolavori. Mentre muovi le tue mani è come se muovessi la tua anima in modo creativo. Se ti lasci trasportare dal ritmo ripetitivo del rammendo e del ricamo entri in un vero e proprio stato meditativo. Riesci a raggiungere altri mondi. Ed il groviglio di fili emotivi dentro di te si ammorbidisce. Senza fare null’altro. » Cosa s’impara cucendo? » Ad affrontare ogni punto. E basta. Senza pensare al punto successivo. Ci si focalizza sul punto presente, ad ogni cucitura. Che poi è quello che ci sfugge nella vita quotidiana. Siamo disperati perché pensiamo sempre al futuro. E così facendo il ricamo diviene disarmonico, confuso, poco curato. » Si ma nonna… le preoccupazioni e le paure come si fanno a vincere con il cucito? » Bambina mia. Non le devi vincere. Le devi solo accogliere. E comprenderle. Cucendo tessi la trama della vita con le tue mani, sei tu a creare l’abito adatto a te stessa. Cucendo ti colleghi a quel filo sottilissimo che appartiene a tutta l’umanità e ai suoi misteri. Cucendo ti trasformi in un ragno che tesse la sua ragnatela raccontando silenziosamente al mondo tutti i segreti della vita. Intrecciando i fili, intrecci i tuoi pensieri, le tue emozioni. E ti colleghi al divino che è in te e che tiene in mano l’inizio del filo. » Elena Bernabè Partager cet article sur Professeur de couture certifié Burda. Mon diplôme de CESF Conseillère en Economie Sociale et Familiale m’a permis de bénéficier d’une formation de couture de 2 années pendant mes études supérieures. Après avoir donné des cours de couture dans des centres sociaux, je forme aujourd’hui mes élèves grâce à mes formations de couture en ligne. 30 réflexions au sujet de “La couture fait elle fuir le désespoir ?” Très beau texte, ma grand mère maternelle, était alitée car malade, mais elle m a appris a repriser les chaussettes ! Et a broder également, j en garde un merveilleux souvenir ,couchée a côte d elle, nous passions des aprés midi entière, a broder et papoter. J ai maintenant 4 petites filles, dont une seule aime beaucoup la couture, et les travaux manuels en général, peinture, fimo, bricolage, nous essayons d en faire régulièrement, je lui ai acheté pour un noël sa première machine et elle se débrouille vraiment très bien. Elle est en train de se faire un sac a dos pour le collège, elle me donne aussi des idée et des astuces qu elle trouve sur le net. J aime partager avec elle ces moments de complicités Mes autres petites filles ne sont pas du tout attirées ni par la couture, ni par ces travaux manuels qui apportent tellement de satisfaction, chacun a son caractère. Ma fille non plus je n ai pas pu lui apprendre la couture, ca ne l intéressait pas du tout. Merci de nous permettre de discuter un peu de notre petite vie faite de joie qu apporte ces petits travaux. Bonne journée a vous. Amicalamant Martine Répondre Bonjour Martine, Je pense que votre grand-mère devait, elle aussi, beaucoup aimer ces moments passés avec vous. J’ai 3 enfants 2 filles, 1 garçon, mes 2 filles ont eu des petites périodes où elles avaient envie de réaliser de petites choses petit coussin, petite déco…. Mais ça restait vraiment de petits moments », ce n’était pas du tout une passion et c’était très épisodique. Par contre aujourd’hui mes 2 filles 22 et 17 ans commencent désormais à s’intéresser à la couture dans le but de se réaliser des vêtements. Donc je me dis que finalement certaines choses arrivent par période’… Bonne journée Répondre C’est vraiment superbe , merci pour ce joli partage Jennifer ; .Les journées seront bonnes . Répondre Merci Evelyne, Bonne journée - Répondre Tout simplement magnifique! Je pense que l’on peut trouver dans tous les arts, dans tout ce que l’on crée avec envie et avec son coeur, ces moments où on se trouve, mais aussi où on s’oublie. Moments de sérénité où l’on est soi- même où le temps n’existe plus; moments où le présent nous envahit, et, où dans l’oubli du monde, on peut parfois imaginer que la vie peut être belle… Emmanuelle Répondre Merci Emmanuelle, c’est très joli ce que vous dites et tellement vrai. Bonne journée, Jennifer Répondre Bonjour, un grand merci à vous Jennifer pour ce texte magnifique et que je vais m »empresser de partager autour de moi.. Quel dommage que le livre de cette autrice ne soit pas disponible en France..Mais peut être qu’avec un peu de buzz cela deviendra possible -D Belle journée à vous et merci pour vos articles toujours très inspirants et précieux quand pour la couturière malhabiles et occassionnelle que je suis florence<3 Répondre Bonjour Florence, Merci pour votre commentaire sur mes articles. J’espère effectivement qu’Elena Bernabè sera reconnue et traduite prochainement dans d’autres langues. Bonne journée Répondre Bonjour Jennifer Mille mercis de nous faire partager ce magnifique texte criant de vérité et rappelant les valeurs que nous nous devons de transmettre sans cesse aux générations d aujourd’hui et de demain afin que chacun réfléchisse profondément sur lui-même et sur les autres. Puisse chacun et chacune d entre nous partager largement votre texte. Répondre Merci Claudie Bonne journée - Répondre Merci pour ce merveilleux partage . J’ai 5 petits-enfants 1 garçon et 4 petites-filles, et , quand ils sont tous là, je les mets à la broderie, sauf les 2 dernières qui n’ont que 5 et 6 ans, mais elles s’intéressent déjà . Mon petit-fils brode comme ses cousines et il fait un joli point . Mais la plus assidue, est l’aînée de mes petites filles qui a 13 ans et qui brode depuis plusieurs années, j’avoue en être très fière, j’espère pouvoir en faire autant avec les 2 petites . J’ai une véritable passion pour la broderie, je brode tous les soirs et j’avoue que c’est une détente merveilleuse après une journée de travail . Je vous souhaite à toutes des moments de bonheur à broder et à coudre . Stephanie Répondre Bonjour Stephanie, J’aime beaucoup admirer la broderie main. Je trouve que c’est un travail délicat avec un résultat qui m’apparaît comme être proche de la perfection. Je ne brode pas vraiment à la main, mais j’observe des amies le faire et je trouve ça tellement beau. Je trouve ça génial d’avoir un petit fils qui se met à la broderie et concernant votre petite fille qui à 13 ans, je pense qu’elle doit avoir un très bon niveau vu le nombre d’années qu’elle brode. Mon fils n’a jamais cherché à coudre à part une fois à l’école où il a réalisé pour Noël, un panneau brodé main. Quand il a eu 8 ans, il est tombé malade et il a passé beaucoup de temps à l’hôpital. Les enfants hospitalisés dans ce service avaient à disposition une éducatrice tous les après midis pour les divertir. Il a découvert les pompons ceux qu’on réalise avec un bout de carton et un fil qu’on fait passer autour. Ces fameux pompons qui peuvent vous occuper des heures. Il en a produit une quantité industrielle -D mais vraiment beaucoup !. Il passait plusieurs heures chaque jour à en réaliser. Il en a fait ensuite cadeau à beaucoup de monde que se soit dans le service à l’hôpital, pour des amis, maîtresse… en prévision de sa sortie. C’est une activité qui l’a beaucoup occupé dans ces moments difficiles et qui devait certainement lui permettre de penser à autre chose. Occuper ces mains, se concentrer sur une tache couture, broderie, pompon… ça fait du bien au moral - Bonne journée, Jennifer Répondre Bonjour Jennifer, merci pour ce joli texte que j’ai partagé avec les amies qui ont confectionné avec moi des masques barrières » pour notre commune Chaillevette en Charente-Maritime. J’ai moi aussi des souvenirs de journées passées avec ma grand-mère maternelle qui était couturière et qui m’a appris à broder, à faire du canevas et à coudre. J’ai aussi des souvenirs d’une vieille mercerie, dans l’Yonne, à Chablis, où nous allions choisir des canevas et tous les cotons DMC qui allaient avec. J’ai eu la chance de beaucoup profiter de ma grand-mère qui est décédée à l’aube de ses 100 ans. J’ai 2 filles que j’ai initiées à la broderie et à la couture surtout une et 2 petits-fils avec qui je fais des jeux et des travaux manuels mais pas de couture. Pensées amicales à toutes Répondre Bonjour Brigitte, Ohhh oui choisir ces cotons DMC… ma mémoire avait mis ça de côté ! Mais c’était effectivement un vrai bonheur. Ces jolis cotons tout neuf, emballés avec un petite étiquette cartonnée’ qui maintenait les fils ensemble… Votre grand-mère a vécu bien longtemps, elle a pu vous transmettre beaucoup de choses - C’est toujours une joie de se rappeler de ces moments et de les transmettre à son tour également. Bonne journée Répondre Magnifiques textes, en français et en italien. Pour moi, coudre à la main est une détente, une méditation. J’ai une machine à coudre mais je préfère coudre à la main, broder,assembler les couleurs et laisser vagabonder les pensées… Merci pour ce partage Mille pensées à toutes!!! Répondre Bonjour, Oui la couture à la main donne d’autres sensations que la couture machine. J’ai commencé il y a plusieurs années un sampler, tout à la main… et j’éprouvais une forme d’apaisement en le faisant. Came détendait vraiment - Bonne journée Répondre Merci pour ce beau texte et pour vos articles et conseils toujours instructifs. C’est vrai que coudre est genial et quand on travaille » pour quelqu’un on pense beaucoup à cette personne c’est tres positif et benefique amicalement Répondre Merci Monique, Vous avez raison quand on travaille’ pour quelqu’un on pense beaucoup à cette personne. Il y a 20 ans je réalisais pour une amie, un coussin de naissance tout à la main, au point de croix. J’ai passé un temps assez long pour le réaliser, mais c’est vrai que j’ai pensé à elle tout du long de cette réalisation. Il y a 1 semaine environ, cette amie m’a renvoyé une photo de ce coussin en me disant qu’elle l’avait toujours gardé et que son fils avait même dormi des années même en étant grand avec ce fait c’était un peu comme un doudou… Voilà… même 20 ans après alors qu’on n’habite plus du tout dans la même région depuis fort longtemps ce coussin est resté comme un lien fort entre nous. Bonne journée Répondre Bonjour Jennifer Merci pour ce beau texte , il est vrai … J’ai bientôt 60 ans et j’ai toujours cousu à la main , machine , tricoté , brodé au point de croix ma mauvaise vue ne me permet pas de faire d’autres broderies qui nécessite que cela soit parfait .Vers 18 ans j’ai voulu me faire une robe ma maman ne voulant pas que j’utilise sa machine je l’ai donc cousue à la main …après ça elle m’en a offert une …que j’ai toujours … La couture pour moi est un plaisir , un moment rien que pour moi …cela m’apporte la sérennité qui me manque parfois .J’ai fait beaucoup de vêtements à mes filles . Malheureusement mes filles ne cousent pas …c’est dommage pour elles , cela développe la créativité … Répondre Bonjour Françoise, Votre maman vous a fait un beau cadeau en vous offrant cette machine après vous avoir vu si déterminée. Peut être que vos filles coudront un jour je vois beaucoup de mes élèves qui se mettent à la couture très tardivement car souhaitent coudre pour leurs petits enfants et repensent à ce moment-là aussi à leur maman couturière’ … Répondre Bonjour Jennifer Ce joli texte a fait ressurgir beaucoup d’émotions; je suis toujours heureuse quand l’ouvrage est terminé couture et tricot et intérieurement je remercie mes grands mères et ma mère d’avoir su transmettre leur savoir de génération en génération ; actuellement je transmet l’amour de la couture à ma petite fille ; ma fille n’a jamais voulu apprendre. Répondre Bonjour Anne Marie, Oh oui c’est magnifique de transmettre ainsi son savoir faire de génération en génération. Et comme je le disais à Françoise dans le message précédent le votre Peut être que vos filles coudront un jour je vois beaucoup de mes élèves qui se mettent à la couture très tardivement car souhaitent coudre pour leurs petits enfants et repensent à ce moment-là aussi à leur maman couturière’ … » Répondre Bonjour Jennifer, Un GRAND MERCI pour ce texte magnifique que je viens d’imprimer et que je vais encadrer pour l’offrir à Maman, qui coud beaucoup et fait de nombreux travaux manuels, ne supportant pas l’inactivité. Belle journée ! Répondre Bonjour Ysaline, Votre maman va être ravie et certainement très touchée. Bonne journée ! Répondre Magnifique texte! Coudre et surtout broder me calme beaucoup et font parti de ma thérapie pour mes problèmes nerveux. Maman voulait m’apprendre à coudre car étant couturière de métier mais à cette époque là,cela ne m’intéressait faisais du canevas et je brodais aussi un petit peu car j’aimais beaucoup cela beaucoup plus que la grand-mère maternelle m’a obligé à coudre avec un dé lorsque j’étais en vacances chez ne pourrais ni coudre ni broder sans dé. Que de souvenirs remontent à la surface en lisant ce texte. Bon après-midi et merci. Répondre Oui c’est un très beau texte et effectivement la couture nous apporte beaucoup à différents points de vue de la santé. Vous me parlez de votre maman et effectivement de nombreuses personnes me font cette remarque ma maman voulait m’apprendre à coudre, mais à cette époque cela ne m’intéressait pas ». Je trouve que c’est très bien de s’y mettre… même tard ». Comme on dit, il n’y a pas d’âge pour apprendre. C’est aussi l’occasion de partager des connaissances avec ses enfants, petits-enfants. Moi je me souviens de ma grand-mère qui m’amenait dans des merceries et j’allais me choisir un canevas à broder. un tout petit canevas pour enfant, mais c’était tellement plaisant à faire. Bonne soirée Répondre Merci pour magnifique texte. Mes mains me permettent de moins en moins ce plaisirs mais malgré tout je résiste , j’ apprécie votre blog ,vos conseils sont très clairs. Merci pour tout, courage et à bientôt . Répondre Je suis désolée pour vos mains. Actuellement j’ai un problème d’œdème à une main qui est presque entièrement dégonflé, mais pas totalement…. Bref je ne peux que compatir, car cela est très handicapant. Vous avez bien raison de résister, il y a différents moyens de continuer à suivre une passion. Lorsque je faisais du patchwork, des dames venaient juste admirer le travail des autres personnes, et parler avec nous… Elles donnaient également des conseils car ne pouvaient quasiment plus coudre à la main, mais avaient de l’expérience à partager. Donc quelque fois l’une d’entre elle me disait Jennifer tu peux me finir cette couture à la main, je n’y arrive plus »… et je lui faisais sa couture. On terminait ainsi notre après-midi, contentes toutes les deux moi d’avoir pu l’aider et elle d’avoir pu finir un travail qu’elle ne pouvait plus finir seule. Bonne soirée Répondre Bonsoir, quel joli texte. J’ai pris des cours de couture lorsque les enfants ont eu 8 et 6 ans ils ont maintenant 50 et 48 ans et j’ai apprécié, elle me permet de me concentrer et d’oublier certains ennuis. Une de mes petites filles se débrouille bien aussi et fait des travaux manuels qu’elle adore. Bonne continuation ! Bonne soirée. Répondre Bonjour Vivi, Oui la couture et n’importe quel loisir créatif permet de se concentrer sur une tache et donc d’oublier ses ennuis. C’est très important de trouver une activité qui permette de se détendre. Bonne journée Répondre Laisser un commentaire
adv. standing to attention Commenti addizionali "le doigt sur la couture du" esempi e traduzioni in contesto Toute la délégation attend, le doigt sur la couture du pantalon. The entire delegation is waiting, fingers on trouser seams. Tu as intérêt à garder le doigt sur la couture du pantalon, Hector. You're splitting apart at the seams, Hector. Alors que certains secteurs de la petite bourgeoisie paupérisée plongent dans les actes de violence, d'autres ont maintenant le doigt sur la couture du pantalon. Whereas certain elements of the petty-bourgeoisie plunge into acts of violence, others have kept things together. Le petit doigt sur la couture du pantalon ? Little finger along the seams of your trousers! Aujourd'hui encore, ma femme prétend que je me suis précipité à Francfort "le petit doigt sur la couture du pantalon". My wife still says today that I rushed to Frankfurt "with banners flying". Si ses trois premiers interlocuteurs l'écoutaient petit doigt sur la couture du pantalon, le Russe Sergey Lavrov s'étonna que Washington se prononce avant le rapport des inspecteurs des Nations Unies. If the first three speakers listened at attention, Russia's Sergey Lavrov expressed surprise that Washington pronounced itself before the report of the UN inspectors.
le petit doigt sur la couture du pantalon